


Sur le Placier aussi, les gestes barrières nous protègent de la contagion
Responsable d'une pandémie mondiale, le coronavirus SARS-CoV-2 (Covid-19) circule activement en France. A la date du 2 avril, plus de 59 000 Français ont été diagnostiqués positifs et plus de 4500 en sont morts. Dans le monde, plus de 1 000 000 personnes ont été contaminées et plus de 51 000 décès sont recensés. En l'absence de traitements efficaces (même si la piste de la chloroquine se confirme au fil des jours) et face à un virus très contagieux, les autorités françaises ont décidé de confiner la population française et de miser sur les mesures barrières.
Plus que jamais, et en toutes circonstances, nous devons appliquer les gestes simples de protection, dits gestes-barrières. Gardons nos distances !
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Et comme le dit si bien le Secrétaire Général de l’ONU, António Guterres :
"Le monde entier affronte aujourd’hui un ennemi commun : le COVID-19. Le virus n’épargne aucune nationalité, communauté ou religion. Il attaque tout le monde sur son passage, implacablement.
Pendant ce temps, les conflits armés continuent de faire rage dans le monde.
Ce sont les personnes les plus vulnérables – les femmes et les enfants, les personnes en situation de handicap, les personnes marginalisées et déplacées – qui paient le tribut le plus lourd. Ces mêmes personnes courent également le plus grand risque de subir des pertes dévastatrices à cause du COVID-19.
N’oublions pas que dans les pays ravagés par la guerre, les systèmes de santé se sont effondrés.
Les professionnels de santé, qui étaient déjà peu nombreux, ont souvent été pris pour cibles. Les réfugiés et toutes les personnes déplacées par des conflits violents sont doublement vulnérables. La furie avec laquelle s’abat le virus montre bien que se faire la guerre est une folie.
C’est la raison pour laquelle j’appelle aujourd’hui à un cessez-le-feu immédiat, partout dans le monde. "